Guillaume Farley
Des premières parties avec son groupe Naturalibus il y a quelques année (Vanessa Paradis, Julie Ferrier ou Thomas Dutronc) aux collaborations plus récentes avec Matthieu Chedid, Grand Corps Malade, Youssou N’Dour, Sandra Nkaké, Richard Gotainer ou encore Michel Fugain, Guillaume est un musicien à la fois éclectique, insolite et mélancolique.
Après avoir tourné pendant 6 ans en solo, Guillaume Farley se devait d’intégrer Edouard Coquard (batterie) et David Hadjadj (claviers) pour former un trio probant, c’est chose faite.
C’est à l’image du Guillaume que l’on connait – ou pas – que ce trio évolue sur le désormais long répertoire du troubadour.
Qui ne s’est pas demandé si Farley possédait un univers ? Un style reconnaissable à chaque introduction ? Non, Farley s’étale sur un éventail culturel qui réclame plusieurs opus pour en saisir l’essence, et peut-être plusieurs écoutes pour en apprécier les finesses et les barbaries. Mais Guillaume sur scène donne une lisibilité supplémentaire qui désarme les obtus. Normal, on croit qu’il vient sans arme.
Le nouveau spectacle « Blindé » nous promène sur ce mélange de chanson-pop-funk, exécuté par des pros en pleine récré, on aimerait faire les oufs avec eux.
Après une série de concerts affichant complet au Pan piper, Guillaume Farley revient dans cette salle parisienne pour présenter son nouvel album « Blindé » le 15 avril 2022 à 20h30.
Photos de scène
Revue de Presse
Avec ses textes tendres et beaucoup d’humour, le chansonnier Farley, homme-orchestre ici, nous raconte sa vie d’artiste et ses amours sans jamais se prendre au sérieux. De ses souvenirs d’école à sa Gertrude — après tout, Renaud a bien chanté Germaine—, on se trouve vite happé dans son univers, fait de chansons et de clins d’oeil (son Vertige du bassiste arrive à point nommé entre Bashung et Michel Berger). Avec un joli sens de la mélodie et du groove en bonus, que demander de plus ?
– Raphaële Lannadère, Télérama –
Pour le week-end, rien de mieux que légèreté et humour … Guillaume Farlay maîtrise tout cela avec talent. Se jouant de tous les clichés du mec libidineux, sur un fond de groove hot ! On ne peut s’empêcher de tirer quelques sourires, comme lorsqu’il prend la voix grave pour dire “Oh bébé, laisse toi pousser une paire de lunettes … de soleil”. Ça fait du bien de se laisser porter par cette musique.
– Francofans –
Parce qu’il cumule à la fois un sacré sens du groove mais aussi de l’humour, le chansonnier Guillaume Farley, homme-orchestre à ses heures, mériterait sans aucun doute d’être plus médiatisé. Ceux qui se laisseront tenté par cet aussi inattendu que réjouissant concert au Lucernaire – la sallese destinant d’habitude davantage au théâtre – ne le regretteront pas. Le chanteur vient y présenter son troisième album, Blindé, avant sa sortie […] Le remuant troubadour n’a décidément pas son pareil pour livrer avec tendresse et drôlerie les facéties de l’amour et du quotidien, de l’enfance à l’âge adulte.
– Marie-Catherine Mardi, Télérama –
Clips
Extrait live
Interview
Contact booking
Juliette Rambaud +33 6 83 73 62 81
& Ophélie Gauteul +33 7 67 64 13 04